Breizh laouen : (Bretagne joyeuse)

   In an irish mood: l’atmosphère se veut irlandaise !

  Mari a wele (Marie pleurait): premier mouvement, dans une adaptation pour violon ou flûte et harpe (sans pédales) du Stabat Mater e brezhoneg d’Yvon Le Quellec. Pièce variée et chantante, la harpe y a un véritable rôle d’accompagnement du violon, pas de difficulté.

  D’après une rhapsodie bretonne de Camille Saint-Saëns:

     Transcription du premier mouvement de la troisième rhapsodie pour orgue. Très bel air, pas de difficultés. L’influence bretonne n’est pas flagrante car cet air serait en fait de la Renaissance (Italie, Europe centrale ?)

  Ballade d’an Tadoù (ballade des pères)

   Pièce en forme de variations, entre les tonalités de la maj et mi min, sans aucune bascule de levier. Il faut une ertaine vitesse d’exécution pour les triples croches, qu’on peut faire à une ou deux mains. La harpe et le violon serépondent, prenant le chant tour à tour.